Réflexions

Le poignet libre

1 mars 2010

De mes premiers voyages, je rapportais des montres. De retour à la maison, je me baladais d’un fuseau à l’autre plusieurs fois par semaine. Une journée à Lisbonne. Le lendemain à Bangkok. Le surlendemain à Philipsburg.

J’ai cessé un jour d’en acheter.

Et d’en porter.

Est-ce pour ça que je me sens en perpétuel décalage?

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