Marie-Julie Gagnon
Autrice, chroniqueuse et blogueuse, Marie-Julie Gagnon se définit d’abord comme une exploratrice. Elle collabore à de nombreux médias québécois et internationaux depuis plus de 25 ans. Elle a publié une douzaine de livres, dont l'essai «Que reste-t-il de nos voyages?» (Éditions de l'Homme, 2019), le récit «Cartes postales du Canada» (Michel Lafon, 2017) et les guides «Testé et approuvé: le Québec en plus de 100 expériences extraordinaires» (Parfum d'encre, 2017, avec neuf coauteures) et «Le voyage pour les filles qui ont peur de tout», (Michel Lafon, 2015, en coécriture). Elle a lancé Taxi-brousse en 2008 et visité plus d'une soixantaine de pays, dont le Canada, qu'elle ne se lasse pas de sillonner de long en large. Certains voyagent pour voir le monde, elle, c’est d’abord pour le «ressentir» (et, accessoirement, goûter tous les desserts au chocolat qui croisent sa route). Sur Twitter et Instagram: @technomade. Sur Facebook: facebook.com/montaxibrousse/
2 Commentaires
Je viens de terminer la lecture de votre livre. J’ai beaucoup aimé. Les histoires de ces grands voyageurs; les questionnements qui deviennent pour nous des pistes de réflexions sur notre façon de voyager et sur ce qu’on en retient (ou rapporte). Réflexions qui d’ailleurs vont devenir plus pertinentes encore quand nous recommencerons à voyager après la longue pause imposée par la pandémie. Comme vous, c’est un premier voyage outre-mer à Lisbonne qui a été le déclencheur d’une longue série de séjours en Europe. J’ai aussi été émue (et un peu retournée) en visitant les pays de l’ex-Yougoslavie où la guerre était encore si proche. En marchant dans les rues commerciales de Vukovar en Croatie ou de Belgrade en Serbie, sirotant l’apéro sur une terrasse, je me sentais un peu mal de penser qu’il y a moins de 30 ans, les bombes pleuvaient au même endroit.
Merci pour vos commentaires! Je rêve de retourner à Sarajevo pour une plus longue période… Je ne sais pas comment nous voyagerons au cours des prochaines années ni quand nous pourrons retraverser l’océan, mais j’espère qu’on repartira avec une conscience encore plus grande de l’autre et de la nature. Bonne route!