Montréal

Le stade olympique, une icône montréalaise

5 août 2016

L’année 2017 sera une année chargée! En plus du 150e anniversaire de la Confédération et du 375e anniversaire de Montréal, la métropole accueillera les 47es Championnats du monde de gymnastique artistique FIG 2017. En prévision de cet événement, on m’a confié la mission de présenter différentes icônes montréalaises illustrées par Anne-Julie Dudemaine

Le premier lieu à l’honneur? Le stade olympique, bien sûr! C’est ici que les athlètes livreront leurs performances.  

Soucoupe volante, coquillage ou mains gigantesques aux doigts recourbés? Peu importe ce qu’il évoque pour chacun, le stade olympique est souvent le premier point repéré quand on s’apprête à atterrir dans la métropole. Des airs, l’œuvre de l’architecte français Roger Tallibert érigée en 1976 apparaît comme un symbole rassurant. «Vous êtes bien à Montréal!» semblent nous crier le «Big O» et sa tour de 175 mètres tendue vers le ciel.

Conçu pour les jeux olympiques de 1976, le stade a été le théâtre de nombreux moments marquants. Comment ne pas souligner la performance de Nadia Comăneci, qui a obtenu la première note parfaite en gymnastique cette année-là? Les matchs des Expos, équipe de baseball qui y a élu domicile de 1977 à 2004? Sans oublier les spectacles qui ont marqué son histoire, notamment Pink Floyd en 1977, U2 en 1987, 1992 et 1997 et les Rolling Stones en 1989!

C’est ici, aussi, qu’en 1984, une chanteuse de 16 ans nommée Céline Dion a chanté «Une colombe» pour le pape Jean-Paul II… Ses 56 000 sièges à gradins en font leur seul amphithéâtre ouvert du Québec à pouvoir abriter des événements d’une telle envergure.

Bien entendu, il ne fait pas l’unanimité, ce stade de béton au toit capricieux. Malgré tout, bon an mal an, il reste l’une des attractions les plus visitées par les touristes.

Les Montréalais, eux, profitent de ses multiples installations sportives. Pendant la belle saison, tous les premiers vendredis du mois, les plus gourmands se retrouvent à ses pieds, dans le parc olympique, pour goûter la cuisine de rue des camions qui viennent s’y garer le temps d’une soirée. Poutine au foie gras, dim sums, crêpe à l’érable ou glace à la vanille?  Oui, la gourmandise… c’est aussi du sport!

Pour le texte original, par ici!

P.S.: Si vous souhaitez en savoir plus sur le stade et son histoire, je vous invite à découvrir le livre Stadorama! La journaliste Catherine Mathys a recueilli les points de vue de 24 personnalités québécoises.

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