Au moment où j’ai suivi mes cours de plongée sous-marine en Thaïlande, j’ai pris la décision d’aller vivre près de la Grande Barrière de corail, en Australie, l’année suivante. Je me suis finalement retrouvée dans l’une des villes les plus pluvieuses du monde, Keelung, à Taïwan, devant une classe d’étudiants prépubaires. Beaucoup de plaisir, mais un peu moins de corail, disons.
Je ne suis pas encore allée en Australie. Je n’ai pas replongé non plus. Le momentum est passé. Malgré tout, quand je tombe sur des vidéos comme celle-ci, produite par Lonely Planet pour Tourism Australia, l’envie me reprend d’enfiler à nouveau mes palmes (bien que l’animateur se contente de faire de la plongée en apnée).
Le ferai-je? Je ne sais pas. Mais une chose est sûre: j’irai la voir de plus près, cette fameuse barrière. En attendant, je me délecte des images des autres.
Autrice, chroniqueuse et blogueuse, Marie-Julie Gagnon se définit d’abord comme une exploratrice. Elle collabore à de nombreux médias québécois et internationaux depuis plus de 25 ans. Elle a publié une douzaine de livres, dont l'essai «Que reste-t-il de nos voyages?» (Éditions de l'Homme, 2019), le récit «Cartes postales du Canada» (Michel Lafon, 2017) et les guides «Testé et approuvé: le Québec en plus de 100 expériences extraordinaires» (Parfum d'encre, 2017, avec neuf coauteures) et «Le voyage pour les filles qui ont peur de tout», (Michel Lafon, 2015, en coécriture). Elle a lancé Taxi-brousse en 2008 et visité plus d'une soixantaine de pays, dont le Canada, qu'elle ne se lasse pas de sillonner de long en large.
Certains voyagent pour voir le monde, elle, c’est d’abord pour le «ressentir» (et, accessoirement, goûter tous les desserts au chocolat qui croisent sa route).
Sur Twitter et Instagram: @technomade. Sur Facebook: facebook.com/montaxibrousse/
À 11 ans, j’etais passionnée par la plongée et je voulais prendre des cours. Il y en avait non l’un de chez moi où un lac avait englouti un village pour besoins du progrès. Ma mère était contre. Puis les hormones ont kické et la vie m’a emportée mais la plongée est restée un fantasme etouffé. La semaine prochaine on passe par Islamorada, il parait que c’est une place de renommée mondiale pour la plongée, il y a même un musée fait pour être visité en plongée. Cela fait remonter mon fantasme englouti au fond de mes entrailles. Bref, je te comprends 😉 Merci pour ces images à exciter les idées folles :)))
1 commentaire
À 11 ans, j’etais passionnée par la plongée et je voulais prendre des cours. Il y en avait non l’un de chez moi où un lac avait englouti un village pour besoins du progrès. Ma mère était contre. Puis les hormones ont kické et la vie m’a emportée mais la plongée est restée un fantasme etouffé. La semaine prochaine on passe par Islamorada, il parait que c’est une place de renommée mondiale pour la plongée, il y a même un musée fait pour être visité en plongée. Cela fait remonter mon fantasme englouti au fond de mes entrailles. Bref, je te comprends 😉 Merci pour ces images à exciter les idées folles :)))