«Les voyages ne sont plus des voyages puisque nous savons où nous allons et nous savons quand nous reviendrons. Il n’y a plus d’imprévus dans tout ça. Le voyage qu’il nous reste, c’est l’amour, là au moins, il y a de l’imprévu, on ne sait pas où on va, on ne sait pas ce qui se passera, on ne sait pas comment ça se terminera.»
«Non, il n’y a pas d’échec amoureux et pourtant, on se prend des gamelles et des râteaux, on pleure, on veut tuer tout le monde. Même quand ça se passe mal, c’est formidable, on ne peut pas regretter ça. Quelle aventure ! C’est comme quand on revient d’une expédition dans le Grand Nord : on a souffert comme un chien, mais on se dit que c’était bien, on garde que les bons souvenirs finalement…»
À lire: l’entrevue complète de Claudia Larochelle sur RueFrontenac.com.
Autrice, chroniqueuse et blogueuse, Marie-Julie Gagnon se définit d’abord comme une exploratrice. Elle collabore à de nombreux médias québécois et internationaux depuis plus de 25 ans. Elle a publié une douzaine de livres, dont l'essai «Que reste-t-il de nos voyages?» (Éditions de l'Homme, 2019), le récit «Cartes postales du Canada» (Michel Lafon, 2017) et les guides «Testé et approuvé: le Québec en plus de 100 expériences extraordinaires» (Parfum d'encre, 2017, avec neuf coauteures) et «Le voyage pour les filles qui ont peur de tout», (Michel Lafon, 2015, en coécriture). Elle a lancé Taxi-brousse en 2008 et visité plus d'une soixantaine de pays, dont le Canada, qu'elle ne se lasse pas de sillonner de long en large.
Certains voyagent pour voir le monde, elle, c’est d’abord pour le «ressentir» (et, accessoirement, goûter tous les desserts au chocolat qui croisent sa route).
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