Boulot

Ma cause

6 octobre 2008

Dans mon premier livre, j’ai brossé le portrait de vingt voyageurs âgés entre 18 et 35 ans afin de découvrir les différentes manières de voyager, même fauché. Récemment, l’un des magazines pour lesquels j’écris m’a demandé de trouver trois filles dont la vie a changé à cause d’un voyage.

 

Je pense que je suis en train d’écrire un autre livre. Je blague, mais à moitié. Je ne me lasse pas d’écouter les voyageurs se raconter. Chaque parcours est captivant. Chaque histoire est unique. En même temps, j’ai l’impression que les globe-trotters ont tous une certaine «parenté». Une espèce de reconnaissance qui se passe de mots. On sait. Plus d’auto-censure pour ne pas emmerder notre entourage ou passer pour celui ou celle qui vante ses exploits. Pas pour rien que dans mon deuxième livre, j’ai écrit que c’est en compagnie de voyageurs que je me sens le plus «à la maison», peu importe où je me trouve…

 

Bref, si vous connaissez des mordus de voyage (tous sexes et âges confondus) qui ont vécu des histoires extraordinaires au cours d’un périple (amour, boulot, spiritualité, découverte d’une passion insoupçonnée, alouette!), demandez-leur de me résumer leur parcours en m’écrivant à mjtornado@gmail.com. Je ne sais pas encore ce que je ferai de tous ces récits, mais chose certaine, je ne pourrai pas me contenter d’un seul article!

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Aucun commentaire

  • Répondre Marie l'urbaine 6 octobre 2008 - 22 h 11 min

    Ah ce que j’en aurais à écrire !
    M’en vais plutôt tenter de guérir ma grippe en travaillant et en déménageant… 🙁
    J’ai hâte de lie ça 😉

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