Causes

Pour une bonne cause

14 juin 2010

Une belle soirée pour une bonne cause, que demander de plus?

Pour plus d’information, lisez ce billet signé Nathalie Pelletier. Pour en savoir plus sur Reach Out To Humanity (ROTH), par ici!

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7 Commentaires

  • Répondre Dominique Jutras 14 juin 2010 - 12 h 41 min

    C’est une super bonne nouvelle,! Une communauté s’active ici au Québec pour aider des filles maasai en Tanzanie à gagner de la confiance et de l’autonomie… BRAVO à toute l’équipe de ROTH!

  • Répondre Maria J. Briceno 14 juin 2010 - 13 h 19 min

    Moi j’ai beaucoup été touchée par le fait que les jeunes femmes maasai sont obligées de prendre mari à l’âge de 12 ans.. ( d’ailleurs je sais pas pourquoi on les appelles les “femmes” elles ne sont que des fillettes). Elles sont donc non seulement privées de leur droits économiques et éducatifs, mais aussi de leur enfance.. Le projet de ROTH constribue concrètement à la défense de ces droits chez les Maasais. Continuez votre beau travail!!

  • Répondre france chevrette 14 juin 2010 - 14 h 09 min

    Je suis fier de participer de cette levée de fond
    j’espère contribuer un peu au bonheur futur de ces jeunes femmes !

  • Répondre Benoit Grenier 14 juin 2010 - 14 h 14 min

    Bravo et merci pour cet article !

  • Répondre Johanne Veilleux 14 juin 2010 - 18 h 04 min

    Intéressant! J’ai une amie qui fait des allers-retours au Kenya depuis 2008 pour participer à la construction d’une école là-bas, tout juste de l’autre côté du Kilimandjaro. Et la construction d’une école dans un pays comme le Kenya ou la Tanzanie, c’est toujours un peu galère : http://johanneveilleux.wordpress.com/2010/03/23/la-leadership-academy-of-rombo/… Mais au-delà les murs de l’école et des bourses d’étude, faut se confronter aux mentalités. Dans la culture massaï, une vache a beaucoup plus de valeur qu’un diplôme, et l’homme beaucoup plus de valeur que la femme…

  • Répondre isabelle Marjorie Tremblay 14 juin 2010 - 23 h 14 min

    Mais qui sont les femmes Maasaï et pourquoi ce besoin criant de ressources ? Je suis particulièrement touchée par leur situation… j’ai donc sentie le besoin de fournir de petites précisions…

    Vous avez sûrement déjà vu des photos d’elles. Ces femmes africaines sont d’abord reconnues à travers le monde pour leur beauté. À l’inverse des habitudes capillaires occidentales, elles portent le crâne ras pour se faire belles et séduire et ce dès l’enfance. Elles portent de larges colliers multicolores et des bijoux de perles sur la tête pour mettre en valeur les traits fins de leur visage. Elles ont aussi d’énormes boucles d’oreilles chargées d’ornement magnifique. Chez les femmes maasaï, fierté et élégance sont les mots d’ordre !

    Voilà pour l’image exotique qu’elles projettent.

    Mais derrière une si belle parure se cache une réalité peu reluisante. Le rôle des femmes dans la société maasaï est extrêmement important et très exigeant. Véritables gardiennes de l’ordre social, elles font littéralement… tout ! Elles construisent les huttes, tissent les vêtements, puissent l’eau, font du commerce, cuisinent pour leur mari et éduquent les enfants. Les hommes ont la réputation d’être de vrais fainéants qui laissent tout le travail aux femmes… Elles méritent notre appui pour cette première et excellente raison.

    Mais ce n’est pas tout. Cette discrimination commence très jeune. Entre 12 et 15 ans, les filles maasaï sont obligées d’épouser un mari, imposé par leur père. Le futur mari de l’adolescente doit quant à lui, payer au père pour acheter sa fille, souvent en échange de quelques bétails. Celle-ci sera par la suite… à son service. Cet échange de propriété suggère une forme de possession qui prive les filles de leurs droits scolaires, économiques et patrimoniaux…

    À quoi servira un centre d’éducation des femmes? Il permettra à un grand nombre de filles de sortir de cette structure archaïque et discriminatoire pour leur offrir une éducation secondaire, avec chambre et pension, et un soutien pour passer les examens d’accès aux universités. Une vie de leur temps, quoi ! Le centre offrira aussi des programmes de santé et d’alphabétisation à des milliers de femmes des communautés pastorales.

    Je suis convaincue que des initiatives solides comme celles de ROTH ont un impact concret afin que ces femmes aient l’avenir qu’elles méritent et la chance de développer leur plein potentiel.

    Une soirée agréable pour vous, et qui peut faire toute la différence pour ces femmes connues pour leur beauté mais méconnues pour leur souffrance…

  • Répondre carolina gallo 15 juin 2010 - 14 h 57 min

    Aprés lire isabelle marjorie t…que puis je ou qqu’un rajouter…tellement bien dit et intelligent..
    alors venez et partagez de l’espoir.

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