Il y a longtemps que je voulais faire un papier sur le bateau-stop. J’ai profité de ma chronique «Choc des cultures» pour m’intéresser de plus près au sujet.
Après avoir trouvé quelques pistes intéressantes sur le Web, je suis entrée en contact avec Jean-Patrick Laflamme par l’entremise d’une copine de cégep (merci Mylen!). Ce qui devait être une brève entrevue téléphonique s’est transformé en conversation passionnante.
Je l’ai souvent dit: c’est pour interviewer des «tripeux» que j’ai choisi de faire ce métier. Écouter de vrais mordus me parler de ce qui les anime (peu importe le domaine, mais surtout des voyageurs – pas pour rien que mon premier livre leur a été consacré!), voilà ce qui me plaît le plus.
Avec Jean-Patrick, j’ai été bien servie. Le résultat est ici.
À lire également, mon entrevue avec une femme, la Française Pascale Hamon, qui a voyagé de cette manière pendant six mois avec sa fille.
P.S.: Je ne le mentionne pas dans l’article, mais Jean-Patrick n’a finalement jamais navigué sur l’Antarctique. Le couple avec qui il devait partir a modifié ses plans à la dernière minute à cause des conditions météorologiques. Il a toutefois été du côté de Cap Horne et des glaciers chiliens.
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Voilà une idée de voyage insolite. A mon échelle, j’ai pu faire un bout de balade fluviale (160Km) en montant à bord de la péniche d’un batelier sympathique. Tout cela pour amener l’idée du bateau-stop “fluvial”, autre possibilité pour ceux qui n’ont pas le pied marin 😉
En passant : blog très intéressant!
@pluc: Wow! Comme Huckleberry Finn! :-)))
Merci! Au plaisir de te revoir par ici!
@ M-J : Presque… avec moins de vapeur d’eau et plus de vapeurs de fuel 😉 Mais le sentiment de défilement est bien présent !